À la fin de l’année 1462, impliqué dans une rixe au cours de laquelle François Ferrebouc, notaire pontifical, est blessé, Villon est arrêté, torturé et condamné à la pendaison dans la prison de Châtelet, et fait appel de la sentence. C’est sans doute pendant ces jours pénibles, dans sa cellule de condamné à mort, qu’il écrit «La Ballade des pendus », où se manifeste notamment son obsession des corps pourrissants.
À la fin de l’année 1462, impliqué dans une rixe au cours de laquelle François Ferrebouc, notaire pontifical, est blessé, Villon est arrêté, torturé et condamné à la pendaison dans la prison de Châtelet, et fait appel de la sentence. C’est sans doute pendant ces jours pénibles, dans sa cellule de condamné à mort, qu’il écrit «La Ballade des pendus », où se manifeste notamment son obsession des corps pourrissants.
À la fin de l’année 1462, impliqué dans une rixe au cours de laquelle François Ferrebouc, notaire pontifical, est blessé, Villon est arrêté, torturé et condamné à la pendaison dans la prison de Châtelet, et fait appel de la sentence. C’est sans doute pendant ces jours pénibles, dans sa cellule de condamné à mort, qu’il écrit «La Ballade des pendus », où se manifeste notamment son obsession des corps pourrissants.
La Fontaine a dit « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes » et c’est ce qu’il fait dans la fable Le Loup et l’Agneau. Nous avons ici deux personnages différents: un loup et un agneau. L’auteur élabore le conflit entre ces deux personnages, l’un fort (le loup) et l’autre faible (l’agneau); nous constatons l’affirmation extrêmement cynique et ironique du narrateur lorsqu’il affirme que « La raison du plus fort est toujours la meilleure » (vers 1). À travers cette fable La Fontaine dénonce le pouvoir et la justice sous Louis XIV; il élabore sa philosophie de la vie : la raison et la justice ne peuvent rien faire contre la force du plus fort.
En avril 1545, Ronsard rencontre, dans une fête à la cour, Cassandre Salviati, fille d’un banquier italien dont il tombera amoureux. Ronsard a 20 ans et Cassandre en a 13. Lorsqu’elle quitte la cour, le lendemain, Ronsard en gardera un beau souvenir. Il compose ce poème en souvenir d’elle. Le poème, sous forme d’une ode, est un exercice de cour plutôt banal mais il reste original par sa vivacité et l’image de l'amour qu'il donne.