À la fin de l’année 1462, impliqué dans une rixe au cours de laquelle François Ferrebouc, notaire pontifical, est blessé, Villon est arrêté, torturé et condamné à la pendaison dans la prison de Châtelet, et fait appel de la sentence. C’est sans doute pendant ces jours pénibles, dans sa cellule de condamné à mort, qu’il écrit «La Ballade des pendus », où se manifeste notamment son obsession des corps pourrissants.
À la fin de l’année 1462, impliqué dans une rixe au cours de laquelle François Ferrebouc, notaire pontifical, est blessé, Villon est arrêté, torturé et condamné à la pendaison dans la prison de Châtelet, et fait appel de la sentence. C’est sans doute pendant ces jours pénibles, dans sa cellule de condamné à mort, qu’il écrit «La Ballade des pendus », où se manifeste notamment son obsession des corps pourrissants.
À la fin de l’année 1462, impliqué dans une rixe au cours de laquelle François Ferrebouc, notaire pontifical, est blessé, Villon est arrêté, torturé et condamné à la pendaison dans la prison de Châtelet, et fait appel de la sentence. C’est sans doute pendant ces jours pénibles, dans sa cellule de condamné à mort, qu’il écrit «La Ballade des pendus », où se manifeste notamment son obsession des corps pourrissants.
Dans cette ballade Villon met en scène des dames du passé et par cela évoque admirablement la fragilité de la vie et la nostalgie de ces dames disparues, ces dames « du temps jadis » qui vivaient avant lui et qui ont été emportées par le vent. Nous y voyons sa nostalgie d’un passé lointain. En fait, il parle des femmes qu’on reconnaît à peine même à son époque, des femmes qui appartiennent à une époque reculée. François Villon évoque ces dames du temps jadis en descendant de la mythologie et de l’Antiquité jusqu’à son époque à lui. Il parle, en fait, de femmes à peine reconnaissables. Même le nom de certaines d’entre elles indique qu’elles appartiennent à un passé lointain, à une époque reculée. Il parle de femmes aux noms de Bietris, d’Alis, de Haremburgis et de la reine Blanche comme lys, dont on ne connaît même pas le nom. Mais chaque femme est l’héroïne d’une histoire dans laquelle elle joue le rôle principal.
Dans cette ballade Villon met en scène des dames du passé et par cela évoque admirablement la fragilité de la vie et la nostalgie de ces dames disparues, ces dames « du temps jadis » qui vivaient avant lui et qui ont été emportées par le vent. Nous y voyons sa nostalgie d’un passé lointain. En fait, il parle des femmes qu’on reconnaît à peine même à son époque, des femmes qui appartiennent à une époque reculée. François Villon évoque ces dames du temps jadis en descendant de la mythologie et de l’Antiquité jusqu’à son époque à lui. Il parle, en fait, de femmes à peine reconnaissables. Même le nom de certaines d’entre elles indique qu’elles appartiennent à un passé lointain, à une époque reculée. Il parle de femmes aux noms de Bietris, d’Alis, de Haremburgis et de la reine Blanche comme lys, dont on ne connaît même pas le nom. Mais chaque femme est l’héroïne d’une histoire dans laquelle elle joue le rôle principal.
Dans cette ballade Villon met en scène des dames du passé et par cela évoque admirablement la fragilité de la vie et la nostalgie de ces dames disparues, ces dames « du temps jadis » qui vivaient avant lui et qui ont été emportées par le vent. Nous y voyons sa nostalgie d’un passé lointain. En fait, il parle des femmes qu’on reconnaît à peine même à son époque, des femmes qui appartiennent à une époque reculée. François Villon évoque ces dames du temps jadis en descendant de la mythologie et de l’Antiquité jusqu’à son époque à lui. Il parle, en fait, de femmes à peine reconnaissables. Même le nom de certaines d’entre elles indique qu’elles appartiennent à un passé lointain, à une époque reculée. Il parle de femmes aux noms de Bietris, d’Alis, de Haremburgis et de la reine Blanche comme lys, dont on ne connaît même pas le nom. Mais chaque femme est l’héroïne d’une histoire dans laquelle elle joue le rôle principal.