Dans cette fable La Fontaine met en scène la vie rustique des campagnards. Il peint la silhouette d’une jeune fermière, Perrette, qui se hâte d’arriver en ville, le lieu où l’on traite les affaires. C’est une jeune femme active et entreprenante; elle est au courant des prix et des conditions de l’élevage. Elle évoque avec joie la vie à la ferme. Elle ne rêve pas de toilette mais de volailles et de bétails. L’on constate aussi que son mari peut bien la battre quand l’envie lui prend de le faire. Derrière cette vie campagnarde, nous retrouvons le fond de la nature humaine. Qui que nous soyons, nous avons tous tendance à rêver de temps en temps. Dans cette fable La Fontaine nous livre aussi ses propres penchants et ses propres faiblesses. Cette fable est relativement brève; elle met en scène la rêverie du personnage principal : Perrette. Nous remarquons aussi l’ironie de la narration.
Dans cette ballade Villon met en scène des dames du passé et par cela évoque admirablement la fragilité de la vie et la nostalgie de ces dames disparues, ces dames « du temps jadis » qui vivaient avant lui et qui ont été emportées par le vent. Nous y voyons sa nostalgie d’un passé lointain. En fait, il parle des femmes qu’on reconnaît à peine même à son époque, des femmes qui appartiennent à une époque reculée. François Villon évoque ces dames du temps jadis en descendant de la mythologie et de l’Antiquité jusqu’à son époque à lui. Il parle, en fait, de femmes à peine reconnaissables. Même le nom de certaines d’entre elles indique qu’elles appartiennent à un passé lointain, à une époque reculée. Il parle de femmes aux noms de Bietris, d’Alis, de Haremburgis et de la reine Blanche comme lys, dont on ne connaît même pas le nom. Mais chaque femme est l’héroïne d’une histoire dans laquelle elle joue le rôle principal.
Dans cette ballade Villon met en scène des dames du passé et par cela évoque admirablement la fragilité de la vie et la nostalgie de ces dames disparues, ces dames « du temps jadis » qui vivaient avant lui et qui ont été emportées par le vent. Nous y voyons sa nostalgie d’un passé lointain. En fait, il parle des femmes qu’on reconnaît à peine même à son époque, des femmes qui appartiennent à une époque reculée. François Villon évoque ces dames du temps jadis en descendant de la mythologie et de l’Antiquité jusqu’à son époque à lui. Il parle, en fait, de femmes à peine reconnaissables. Même le nom de certaines d’entre elles indique qu’elles appartiennent à un passé lointain, à une époque reculée. Il parle de femmes aux noms de Bietris, d’Alis, de Haremburgis et de la reine Blanche comme lys, dont on ne connaît même pas le nom. Mais chaque femme est l’héroïne d’une histoire dans laquelle elle joue le rôle principal.
Dans cette ballade Villon met en scène des dames du passé et par cela évoque admirablement la fragilité de la vie et la nostalgie de ces dames disparues, ces dames « du temps jadis » qui vivaient avant lui et qui ont été emportées par le vent. Nous y voyons sa nostalgie d’un passé lointain. En fait, il parle des femmes qu’on reconnaît à peine même à son époque, des femmes qui appartiennent à une époque reculée. François Villon évoque ces dames du temps jadis en descendant de la mythologie et de l’Antiquité jusqu’à son époque à lui. Il parle, en fait, de femmes à peine reconnaissables. Même le nom de certaines d’entre elles indique qu’elles appartiennent à un passé lointain, à une époque reculée. Il parle de femmes aux noms de Bietris, d’Alis, de Haremburgis et de la reine Blanche comme lys, dont on ne connaît même pas le nom. Mais chaque femme est l’héroïne d’une histoire dans laquelle elle joue le rôle principal.
Joachim du Bellay rédige ce sonnet lors de son séjour de quatre ans à Rome. Ce séjour est pour Du Bellay long et pénible : il a beaucoup de travail; il est malade et voudrait revoir la France. Heureux qui, comme Ulysse a été écrit à Rome de 1553 à 1557. Ce poème élégiaque est adressé à son ami Olivier de Magny qui a, lui aussi, séjourné à Rome de 1555 à 1556. Les thèmes des poèmes du recueil sont l’exil, la satire et la déception du poète par rapport à Rome. Ce sonnet célèbre est le symbole de la nostalgie.